réhabilitation d’une ferme, transformation en caserne pour
les sapeurs-pompiers volontaires
site : Les Echelles (73)
maîtrise d’ouvrage : SDIS 73
maîtrise d’oeuvre : actm, axiome, eseb, secoba
équipe : Adrien Cuny, Thomas Mouillon, Rémi Santin, Jérôme Esteve, Jean-Yves Chazeau, Eric Gritti, Stanislas Laurent
programme : bureaux, salle de formation, vestiaires, dortoir, réfectoire
surface : 850 m²
615 000 € ht
livraison juillet 2019
vers le chantier
site : Les Echelles (73)
maîtrise d’ouvrage : SDIS 73
maîtrise d’oeuvre : actm, axiome, eseb, secoba
équipe : Adrien Cuny, Thomas Mouillon, Rémi Santin, Jérôme Esteve, Jean-Yves Chazeau, Eric Gritti, Stanislas Laurent
programme : bureaux, salle de formation, vestiaires, dortoir, réfectoire
surface : 850 m²
615 000 € ht
livraison juillet 2019
vers le chantier
CENTRE D’INTERVENTION ET DE SECOURS DES ECHELLES
La ferme existante avait déjà été agrandie plusieurs fois. Elle était faite de petite maçonnerie dépareillée et seul le toit unifiait l’ensemble. L’ancienne grange était inoccupée. Elle se caractérisait par ses grandes ouvertures qui servaient à monter le foin à l’étage. On entrait par une petite porte sur la façade arrière, et l’étage n’était accessible que par un escalier donnant sur l’extérieur.
Les travaux ont permis de réorganiser le centre de secours et de l’agrandir dans l’emprise du bâtiment existant. Le volume des combles a été aménagé en profitant de la grande hauteur sous plafond. L’entrée a été déplacée sous l’avant toit. Les circulations ont été réaménagées pour rendre le centre opérationnel.
Nous avons utilisé un enduit isolant à base de diathonite pour unifier et protéger les façades. Aujourd’hui, plus personne ne voit en passant devant la caserne qu’elle est faite de trois bâtiments. Les grandes ouvertures pour le foin ont été conservées. Elles apportent une échelle inhabituelle au réfectoire et à la salle de sport.
Le centre de secours est la deuxième maison des sapeurs-pompiers. Il est confortable. On s’y retrouve entre volontaires. Lors des alertes, il s’anime d’une frénésie attendue. Chaque chose semble à sa place, prête en cas d’intervention.
La ferme existante avait déjà été agrandie plusieurs fois. Elle était faite de petite maçonnerie dépareillée et seul le toit unifiait l’ensemble. L’ancienne grange était inoccupée. Elle se caractérisait par ses grandes ouvertures qui servaient à monter le foin à l’étage. On entrait par une petite porte sur la façade arrière, et l’étage n’était accessible que par un escalier donnant sur l’extérieur.
Les travaux ont permis de réorganiser le centre de secours et de l’agrandir dans l’emprise du bâtiment existant. Le volume des combles a été aménagé en profitant de la grande hauteur sous plafond. L’entrée a été déplacée sous l’avant toit. Les circulations ont été réaménagées pour rendre le centre opérationnel.
Nous avons utilisé un enduit isolant à base de diathonite pour unifier et protéger les façades. Aujourd’hui, plus personne ne voit en passant devant la caserne qu’elle est faite de trois bâtiments. Les grandes ouvertures pour le foin ont été conservées. Elles apportent une échelle inhabituelle au réfectoire et à la salle de sport.
Le centre de secours est la deuxième maison des sapeurs-pompiers. Il est confortable. On s’y retrouve entre volontaires. Lors des alertes, il s’anime d’une frénésie attendue. Chaque chose semble à sa place, prête en cas d’intervention.